LES NOUVELLES AVENTURES DE RENART

 

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SCÉNARIO EN RECHERCHE D’ÉDITEUR

Conte humoristique d’aventure                                                                                                       Scénario : Jean-Pierre Joblin et Benoît du Peloux                                                                Dessin : Benoît du Peloux                                                                                                                              Texte : Jean-Pierre Joblin

 

EXPOSÉ D’INTENTION

Lorsque Benoit du Peloux  me demanda de concevoir ces « nouvelles aventures de Renart », je ne fut qu’un bond d’enthousiasme. J’admire depuis toujours                 la virtuosité, la drôlerie et l’humanité qui émanent  de ses illustrations                          et je savais que le dynamisme qu’il sait insuffler dans ses séries BD viendrait vivifier les récits. Il y a du Norman Rockwell et de l’aquarelliste anglais chez Benoit du Peloux ! Élégance et truculence !

« Le roman de Renart », fut la toute première littérature qui entra dans                     mes oreilles quand mademoiselle Etienne, institutrice de grande section                de maternelle à Dun-sur-Auron (18), nous fit lecture de l’épisode d’Ysengrin          et les anguilles. Je devais en garder une impression d’enchantement ainsi    qu’une certaine compassion pour le pauvre loup à la queue coupée.

Puis, je découvris Tex Avery. Bip bip et le Coyotte sont sans nul doute                        les descendants burlesques de Renart et d’Ysengrin.

Puis, plus tard, un autre prof de français me fit découvrir Rabelais ! Le style !        La fantaisie ! un choc !

Les fabliaux de Renart, Tex Avery, Rabelais constituent les sources des histoires que nous voulons développer dans « Les nouvelles aventures de Renart ».                   Si « La corne de saint Morphale » – la plus longue des « nouvelles aventures » ici présentées -, donne son titre à l’ouvrage, nous souhaitons également en proposer quatre ou cinq autres dans un livre qui pourrait avoisiner les 100 pages et qui s’adresse à des lecteurs de 10 ans et plus. Nous ambitionnons de lancer une collection où la grande variété des images viendra compléter et accompagner les propos.

La mise en page que nous suggérons affiche clairement le parti-pris                              du « beau livre » à l’ancienne; le genre de cadeau que l’on savoure sous la couette, un matin de Noël.

J-P Joblin

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EXTRAIT

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